L’avenir de l’hydroélectricité en France
« La rénovation de centrales existantes est une priorité pour le développement de l’hydroélectricité en France. »
Cette revendication est l’une des conclusions du Colloque National sur l’hydroélectricité, qui a eu lieu le 11 octobre dernier.
En effet, les obstacles règlementaires et environnementaux sont tels, sur l’Hexagone, que le développement de nouveaux ouvrages hydrauliques est très faible.
Moderniser l’existant
Aujourd’hui, la filière représente la première énergie renouvelable en France, avec une capacité totale de 25,5 GW installés à ce jour, dont 18% sont issus de centrales au fil de l’eau, telle que la Marie Thérèse.
Cette revendication à prioriser la modernisation est partagée par un grand nombre d’organismes, dont par exemple la Commission Internationale pour le Protection des Alpes, qui indique sur son site internet. « On a constaté que la modernisation de certaines centrales avait permis de tripler la production d’électricité, et que la situation écologique avait pu être améliorée grâce à des mesures d’accompagnement appropriées. » (plus d’informations ici)
Ainsi, de nombreux sites, parmi les plus de 2000 centrales hydroélectriques au fil de l’eau que compte l’hexagone, constituent autant d’opportunités de projets de réhabilitation. C’est le cas de notre projet qui est sur le point de produire à nouveau de l’énergie renouvelable, ici, à Velaux.